Sinon, comme prévu, la perruque de femme de 1785 est terminée ainsi que les soulier 1780, mais ces derniers n'étaient pas à la hauteur de mes attentes et donc j'en ai fait une autre paire, avec les mêmes étoffes, rubans taffetas blanc, biais satin écru, frange de plumes d'autruches dentelle et galon, mais d'une mode plus tardive, de 1785, quasiment sans talon ;Ah, et en parlant de
talon,durant la période révolutionnaire, plus les talons étaient haut, plus les têtes tombées donc toutes les aristocrates faisaient attention à la hauteur de bois qu'elles avaient sous les pieds.
Je vous montre maintenant ce que je vous ai expliquer de 1778 à 1799



en bas à droite

en haut à droite

Pour un cordonnier du XVIIIe siècle
cela faisait ça fortune, et pour nous,
c'est un vrai trésor pour les yeux.
Il s'agit de souliers de 1750 à1780
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